Que les feuilles tombent,
Que les fleurs se fanent,
C’est la fin de cette vie.
Qu’on emporte mon âme.

Que ces morceaux de chair,
Ancrés sur une existence amère,
Périssent dans les sanglots,
D’une période éphémère.

Comme ces maux inutiles …

Comme ces « Anges », aux ailes déchirées
Venant dans nos rêves, nous briser.
L’agonie est ce qui a unifié,
Le désespoir à mon humanité.